Fukuyamak arrazoi: Historiaren amaiera da (eta prehistoriaren hasiera)

Al final vamos a tener que dar la razon al ideologo burgés Francis Fukuyama cuando, con la clarividencia del intelectual adicto al regimen, predijo el fin de la Historia tras la contrarrevolucion en el bloque del Este, Mongolia y la URSS.

El proletariado húngaro lleva tiempo disfrutando del 'Mundo Libre' tras la vuelta al ancien régime capitalista. Ahora el lumpenproletariado podrá disfrutar de las grutas y cuevas del pais, porque la tiranía capitalista ha decidido aplicar la Solución Final al problema galopante de la pobreza persiguiendo a los parias que habitan las gélidas calles.

Fukuyama, pues, tenia razon: Es el fin de la Historia... y el comienzo de la Prehistoria. Parece que, de la misma manera que la burguesia crea al proletariado, la contrarrevolución capitalista ha creado el comunismo, en este caso el Comunismo Primitivo. El arte parietal, la hoguera a combustión de madera, el silex y los chamanes del Vaticano están otra vez de moda. Eso hasta que la Revolucion Comunista barra otra vez con toda la vieja escoria y vuelva a ondear triunfante la bandera roja sobre Budapest.



Euronews:
En Hongrie, de plus en plus de sans abris sont obligés de se cacher, ou de trouver refuge à la périphérie des villes – comme ici dans cette forêt près de Budapest – car depuis le début du mois, les SDF peuvent écoper d’amendes s’ils dorment dans la rue. Ceux qui ne peuvent pas payer sont passibles d’une peine de prison.

“Mettre les gens en prison alors qu’ils ne font que dormir, c’est incroyable. où sont-ils censés dormir s’ils n’ont pas d’autre choix ? et en plus les punir avec des amendes ? où vont-ils trouver l’argent?”, s’indigne Julianna Szvett, une sans-abris.

Cette loi voulue par Fidesz, le parti au pouvoir, est censée inciter les sans-abris à se rendre dans les centres d’hébergement, c’est ce qu’explique le rédacteur du texte, Mate Kocsis, qui est aussi le maire du 8ème district de Budapest :

“Pour l’instant, personne n’a été mis en prison et personne n’a écopé d’amende. Ce sont des déclarations déformées et mal interprétées. Le but de cette loi est avant tout de faire de la prévention”.

Une déclaration contredite par les travailleurs sociaux et par cette femme qui vit dans les rues de la capitale hongroise et qui a déjà eu affaire à la police.

“Ils m’ont dit de me lever sinon j’allais devoir payer 50000 forints, 160 euros, je ne faisais que fumer une cigarette”.

L’amende peut même atteindre 500 euros si les sans-abris sont pris en flagrant-délit de récidive.
On estime à 10 000 le nombre de SDF en Hongrie, la plupart d’entre eux vit à Budapest.
Kontrairaultzaren ondorioak Soviet Batasuna zenaren hirietan